COQUERET DU PEROU – ALKEKENGE- GROSEILLE DU CAP culture

Phy salis superfruit bio antioxydant naturel puissant

Nom scientifique : Physalis peruviana (Linné).

Famille : solanacées.

Origine : Amérique centrale (Pérou).

Introduction : observé « aux Amériques » dès le XVIIIème siecle, le coqueret du Perou est introduit dans les jardins botaniques dès le XIXeme siècle.

Description : buisson à port naturellement touffu et retombant. Hauteur 2m. maxi.

Feuillage : le feuillage du Physalis peruviana est ovale, persistant et légèrement duveteux.

Floraison : belles petites fleurs jaunes maculées de noir. Elles sont présentes presque tout au long de l’année, cohabitant avec les fruits.

COQUERET DU PEROU
COQUERET DU PEROU

Fruits : les fruits du coqueret du Perou ressemblent à ceux des amours-en-cage de nos jardins, mais plus gros et de couleur jaune-orangé. A l’intérieur du calice, fruit jaune sucré et parfumé contenant plein de petites graines. Diamètre approximatif des fruits : 2 cm.

Récolte : dès que le calice a pris sa couleur paille, c’est a dire, sous nos climats : septembre – octobre. A condition de maintenir la plante en serre chaude ( 18 °), on peut avoir des fruits tout au long de l’année.

Autres variétés : cette famille comporte énormément de genres dont certains sont délicieux, d’autres carrément toxiques. Certains classent les variétés horticoles (rouges, violettes etc… (amour-en-cage des jardins) comme toxiques. Donc, prudence ! Le plus connu des autres Physalis comestibles est Physalis pruinosa, de plus petite taille, strictement annuel, aux fruits d’un diamètre de 1 cm.

Utilisations : c’est surtout le plaisir de les déguster frais qui prime, les enfants n’y résistent pas ! Si la récolte est trop abondante, essayez les gelées et confitures, mais surtout le séchage, qui donne un excellent résultat. L’Amérique centrale en exporte d’ailleurs régulièrement ( au prix de l’or, au moment de Noël ). Le fruit frais ou séché de Physalis peruviana peut être mis à confire dans une saumure aigre-douce qui accompagnera merveilleusement vos viandes froides.

Résistance au froid-Rusticité : deux degrés strict minimum; à o°, c’est cuit ! Pour conserver une belle plante productive tout au long de l’hiver, compter sur une température minimale de 15° et il faut aussi que la pièce ou la serre soit bien ventilée.

Nature du terrain : indifférent. On doit cultiver le coqueret du Perou en pot, prévoir des pots de très grande taille (15/20 litres) pour l’hiver. On peut aussi le cultiver en pot l’hiver et le planter en pleine terre dès que les gelées ne sont plus à craindre. Bien sûr, il ne faudra pas oublier de la rentrer avant les premières gelées d’automne !

Exposition : plein soleil.

Besoins en eau : le Physalis peruviana est très exigeant en eau en période de végétation active (avril à octobre).

Taille : la plante est très vigoureuse, des pousses apparaissent partout. Supprimer ce qui pousse à l’intérieur de la couronne et épointer les tiges régulièrement. Un tuteurage comme pour les tomates est indispensable ; mieux, conduire sur une tige et laisser se former une couronne que l’on étayera avec autant de tuteurs que nécessaire, quitte à construire un véritable échafaudage ! Les cultures industrielles au Mexique et au Brésil utilisent la même technique que pour la vigne.

Multiplication : le coqueret du Perou ne demande qu’à se multiplier, vous avez le choix des armes : semis, bouturage, marcottage.

Fertilisation : engrais rosiers, géranium ou arbres fruitiers très régulièrement durant la période de pleine végétation (mai à septembre) en intersaison et hiver, réduire les apports d’engrais.

Ennemis : en serre, surtout l’hiver, le Physalis peruviana doit faire face aux attaques d’aleurodes et de pucerons, mais surtout les aleurodes. Il y a plusieurs façons d’y faire face ; d’abord, bien aérer la plante, en évitant le recouvrement des feuilles. Les insectes se cachent moins facilement et sont plus aisément atteints par les traitements. Utiliser ensuite des feuilles de papier jaune enduites de glu pour capturer les aleurodes (elles sont attirées par cette couleur). Traiter régulièrement avec un insecticide bio (pour consommer les fruits sans arrière-pensée). Et enfin, surtout l’hiver, limitez l’humidité atmosphérique qui favorise la prolifération de ces mouches blanches.

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