Physalis peruviana bio COQUERET DU PEROU

Physalis bio antioxydant naturel puissant

Physalis peruviana COQUERET DU PÉROU / PHYSALIS

Physalis peruviana bio COQUERET DU PEROU
Physalis peruviana bio COQUERET DU PEROU

La Physalis peruviana (COQUERET DU PEROU / PHYSALIS) est un genre de plantes de la famille des Solanaceae, sans doute originaires des Amériques où elles portent le nom maracaibo comme la ville du Venezuela ou mexicain de tomatillo.
En raison de l’aspect décoratif de ses fruits, le Physalis est parfois utilisé dans les restaurants exotiques comme garniture pour les desserts.
Les fruits restant à l’intérieur de leur enveloppe se conservent à température ambiante entre 30 et 45 jours.

Au palmarès des fruits les plus riches en antioxydants, la Physalis remporte la palme des antioxydants, 17 fois plus que celui de la grenade par exemple.
Le fruit, dont on peut faire une huile ,est riche en provitamine A, en vitamine C, en vitamine E et en phytostérols.
Il possède également certains des complexes de vitamine B et un taux exceptionnel de phosphore (55%).

La Physalis peruviana permet ainsi de renforcer le nerf optique et soulager les maux de gorge et purifie le sang grâce à ses propriétés diurétiques et est aussi utilisé comme un tranquillisant naturel pour sa teneur en flavonoïdes (nous ne sommes malheureusement pas autorisé a divulguer les noms de maladies dont cette plante guérit).

Attention! Les fruits non arrivés à maturité contiennent assez de solanine pour déclencher une gastro-entérite et une diarrhée s’ils sont ingérés. On doit empêcher les enfants de manger ces fruits.

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Physalis bio antioxydant naturel puissant

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Profil santé de la cerise de terre

La cerise de terre se prête bien à la confection de confitures, de gelées et de compotes. Les composés qu’elle contient auraient des effets antibactériens, anticancer et anti-inflammatoires.

Physalis bio antioxydant naturel puissant
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Les bienfaits de la cerise de terre

La cerise de terre consommée au Québec porte le nom latin Physalis pruinosa. Or, aucune étude scientifique n’a porté sur cette variété particulière. La plupart des recherches, dont celles présentées ci-dessous, ont été réalisées avec des variétés retrouvées en Europe, en Asie ou en Amérique du Sud (Physalis angulata,Physalis minima et Physalis peruviana). De plus, les extraits de la plante utilisés dans les différentes études concernent le plant entier et non seulement le fruit. Bienfaits divers. La cerise de terre est utilisée en médecine populaire pour traiter plusieurs affections comme l’asthme, l’hépatite, la malaria et les rhumatismes. Des extraits provenant de feuilles de cerise de terre (utilisées traditionnellement au Congo) auraient démontré une forte activité contre le parasite plasmodium, responsable de la malaria19. Cancer. Plusieurs études in vitro ont démontré l’efficacité d’extraits de cerise de terre pour inhiber la croissance de différentes cellules cancéreuses humaines (foie3, poumons11,12, ovaires13, sein14). Des études cliniques seront toutefois nécessaires pour savoir si la simple consommation de cerises de terre a un effet contre le cancer chez l’humain. Inflammation. Des extraits de cerise de terre ont produit une diminution de l’oedème et eu des effets anti-inflammatoires chez des souris et des rats atteints d’arthrite et de dermatite6,15,16. Des composés isolés à partir de la racine de la cerise de terre auraient également des effets anti-inflammatoires en diminuant entre autres la production de composés qui causent l’inflammation17. Immunité. Des composés issus d’extraits de cerise de terre auraient la capacité d’influencer la réponse du système immunitaire7,18. Les chercheurs laissent entendre qu’ils auraient un potentiel intéressant pour remplacer certains médicaments immunosuppresseurs (utilisés, par exemple, pour le traitement d’allergies ou de maladies auto-immunes), sans présenter d’effets secondaires importants. Effet antimicrobien. Des extraits de cerise de terre ont montré une activité antimicrobienne in vitro contre certaines bactéries, dont celle de la tuberculose8,9. Certaines physalines contenues dans la cerise de terre joueraient un rôle majeur dans cet effet antimicrobien, en se liant aux parois cellulaires de la bactérie pour inhiber sa croissance. Que contient la cerise de terre? Antioxydants. Les antioxydants sont des composés qui réduisent les dommages causés à l’organisme par les radicaux libres. Ils contribuent à prévenir l’apparition des maladies cardiovasculaires, de certains cancers et de diverses maladies chroniques. Des chercheurs ont démontré que la cerise de terre pourrait avoir un intéressant pouvoir antioxydant1. D’autres ont conclu que certains extraits de la cerise de terre démontraient un pouvoir antioxydant in vitro équivalant ou parfois même supérieur à celui de la vitamine E (un antioxydant naturel)2. Certains flavonoïdes et d’autres composés encore inconnus pourraient contribuer à l’activité antioxydante de la cerise de terre. Bêta-carotène. Les cerises de terre contiennent du bêta-carotène, un antioxydant de la famille des caroténoïdes qui peut être converti en vitamine A dans l’organisme. Le bêta-carotène est le caroténoïde dont la conversion en vitamine A est la plus efficace. La vitamine A favorise la croissance des os et des dents, favorise une bonne vision, maintient la peau en santé et protège contre les infections. Physalines. Les physalines sont des stéroïdes caractéristiques des cerises de terre (Physalis). Les effets anticancer de la cerise de terre leur seraient en partie attribuables. Les physalines ont démontré in vitro leur efficacité pour inhiber la croissance de plusieurs cellules cancéreuses humaines (côlon, poumons, foie, larynx et globules blancs4,5). On leur devrait aussi en partie certains effets antibactériens et anti-inflammatoires. Fait intéressant, les physalines agiraient de façon différente de la dexamethasone (un médicament anti-inflammatoire) et n’auraient possiblement pas les mêmes effets secondaires. Elles auraient également un effet sur l’activation et la prolifération des cellules du système immunitaire. La toxicité potentielle des physalines sous forme concentrée reste toutefois à déterminer, de même que l’efficacité de la simple consommation de la cerise de terre. Phytostérols. En plus d’être une source d’acides gras essentiels et de vitamine E, l’huile extraite de la cerise de terre entière contient des phytostérols en quantité élevée10. Ces composés présents dans les végétaux sont d’un intérêt croissant étant donné leur activité antioxydante et leurs effets positifs sur la santé cardiovasculaire. L’huile de cerise de terre pourrait donc présenter une opportunité pour l’élaboration de nouveaux aliments fonctionnels.

Idées recettes

Ajoutez la cerise de terre aux salades de fruits. Dans les sorbets, les glaces ou les granités. Dans les tartes, les clafoutis et autres gâteaux renversés. Dans les ketchups et chutneys. En coulis ou en mousse. Repliez l’enveloppe et trempez le fruit dans du chocolat fondu, du caramel ou un glaçage. Très riche en pectine et en pectinase, le jus du fruit mûr se prête particulièrement bien à la confection de gelées et de confitures. On pourra s’en servir pour les sauces et les glaces destinées à rehausser les viandes ou les fruits de mer. On peut cuire le fruit en compote avec du miel, comme on le fait en Colombie. On le sert au dessert avec de la crème glacée ou du yogourt nature. On peut l’employer à la place des raisins frais dans la cuisson de la caille. Séchée, elle ressemble à un raisin sec et se prête aux mêmes emplois culinaires.

Choix et conservation

Choisir La cerise de terre ne se retrouve sur le marché que durant l’été et l’automne. À d’autres moments de l’année, on peut trouver dans les boutiques spécialisées des groseilles du Cap importées, mais elles sont très chères. Les fruits immatures étant difficiles à digérer, ne consommez que ceux qui sont d’un beau jaune doré. Laissez mûrir les autres pendant 1 ou 2 semaines. Quelques entreprises offrent le fruit séché. Conserver Réfrigérateur ou cave fraîche. Le fruit peut se conserver de nombreuses semaines au frais, à la condition que son enveloppe soit intacte et qu’on ait pris soin de le faire sécher quelques jours au soleil après la récolte. Congélateur. Enlevez l’enveloppe des fruits et disposez ces derniers sur une plaque que vous mettrez au congélateur 1 heure ou 2 avant de les enfermer dans un sac hermétique et de les remettre à congeler. Déshydrateur. Le fruit se sèche facilement au déshydrateur ou au four réglé à très basse température.

La petite histoire de la cerise de terre

Noms communs : cerise de terre, groseille du Cap, amour en cage, alkékenge, cerise en chemise, coqueret, coccigrole, herbe à cloques, cerise d’hiver, cerise des Juifs, mirabelle de Corse, battre-autour, poc-poc, etc. Noms scientifiques : Physalis pruinosa, Physalis peruviana et Physalis angulata. Famille : solanacées. La cerise de terre n’est en réalité ni cerise, ni groseille, ni mirabelle. Le fruit est, en fait, beaucoup plus proche de la tomate, une cousine appartenant à la même famille (solanacées). Le terme « alkékenge » est apparu dans la langue française au XIVe siècle. Ce mot vient de l’ancien français « alquequange » ou « alcacange », qui dérive de l’arabe al-kakang. Dans son sens étroit, il désigne la lanterne chinoise, plante ornementale de l’espèce P. alkekengii dont les fruits sont enfermés dans une enveloppe d’un orange vif. Toutefois, dans la langue populaire, le mot peut désigner n’importe quelle plante du genre physalis. Le genre physalis comprend une centaine d’espèces distribuées dans toutes les régions tropicales, sous-tropicales et tempérées du monde. En Amérique centrale et en Amérique du Sud, il en pousse de nombreuses espèces sauvages et cultivées. La cerise de terre (P. pruinosa) vient de l’Est des États-Unis. La groseille du Cap (P. peruviana), contrairement à ce qu’indique son nom, vient des Andes péruviennes et chiliennes. Aliment mineur dans la plupart des cultures, le fruit des physalis n’a guère fait l’objet d’études archéologiques et paléontologiques, si bien qu’on ignore à peu près tout de l’histoire de la plante et de son évolution. On sait que les Incas connaissaient la groseille du Cap et qu’ils la consommaient très certainement, mais là s’arrêtent nos connaissances. On retrouvera la plante dans les jardins botaniques de l’Europe au XIXe siècle, puis dans les jardins privés. À part l’alkékenge (P. alkekengi), recherchée pour ses clochettes orange, la plante suscitera un intérêt mitigé, considérée à mi-chemin entre la mauvaise herbe et la plante cultivée. Il est vrai qu’elle s’installe facilement dans les cultures et accapare les précieux minéraux dont les autres plantes ont besoin pour croître. En outre, contrairement aux autres plantes comestibles de la famille des solanacées (poivron, tomate, aubergine), les sélectionneurs ne s’y sont guère attardés. Ainsi, il existe peu ou pas de cultivars présentant les caractéristiques qui permettraient de la cultiver à grande échelle. Bien qu’abondante, la récolte doit se faire à la main, un travail long et fastidieux qui exige une main-d’oeuvre importante. Enfin, la saveur du fruit peut varier considérablement d’une variété à l’autre. La groseille du Cap (P. peruviana) a tout de même été introduite dans de nombreuses régions du monde, notamment en Afrique, en Chine, en Inde, en Australie, en Nouvelle-Zélande et en Malaisie, où on la cultive commercialement depuis au moins 200 ans. Malgré tout, son potentiel reste nettement sous-exploité. À Hawaii, elle a fait l’objet d’une culture intensive, pour ensuite pratiquement disparaître des champs. On a également tenté de la cultiver en Israël, mais les consommateurs n’ayant guère montré d’enthousiasme, on l’a remplacée par des plantes plus rentables. La même chose s’est produite pour la cerise de terre (P. pruinosa) qui a connu un succès mitigé, sauf chez les jardiniers amateurs qui, de tout temps, la cultivent et l’apprécient. Toutefois, depuis une dizaine d’années, la demande pour les produits du terroir ne cesse de croître tant en Amérique du Nord qu’en Europe. Confitures, gelées et liqueurs sont offertes dans les boutiques spécialisées, et le petit fruit figure désormais sur les meilleures cartes.

Jardinage biologique

Au Québec, la cerise de terre pousse mieux que la groseille du Cap. La culture de cette dernière peut tout de même être tentée en sachant que les résultats pourraient être décevants. Semez en bac à l’intérieur, de 4 à 6 semaines avant le dernier gel prévu. On peut aussi semer directement au jardin quand le sol est réchauffé, mais la récolte sera moins abondante. Transplantez quand le risque de gel est passé, en espaçant les plants de 45 cm à 60 cm dans le rang et de 1 m entre les rangs. La cerise de terre tolère un peu d’ombre, mais a besoin tout de même de soleil pour mûrir son fruit. Évitez de trop engraisser la terre, au risque de favoriser le développement du feuillage au détriment du fruit. On peut tuteurer les plants de cerises de terre, mais ce n’est pas impératif, contrairement à la groseille du Cap, qui nécessite un bon support et une taille régulière.

pH : indifférent

Il ne faut pas forcer sur l’irrigation, la plante préférant les sols plutôt secs, mais on arrose en cas de sécheresse prolongée. Grâce à son enveloppe, le fruit possède son propre système de protection contre les insectes et les maladies. Sans être infaillible, ce système est fort efficace. Par contre, la chrysomèle rayée s’attaque aux fleurs et aux feuilles. Pour limiter les dégâts, traitez à la roténone. Pour la récolte, on peut disposer des toiles sur le sol et secouer les plants pour faire tomber les fruits mûrs.

Écologie et environnement

Toutes les plantes du genre physalis constituent un excellent couvre-sol et protègent les terres à nu contre l’érosion. Peu exigeante en fertilisants et en eau, la plante s’établira rapidement sur les sols sablonneux ou rocailleux. Par contre, une fois établie, elle peut être difficile à éradiquer. Il faut donc s’assurer que l’endroit qu’on a choisi pour l’installer ne soit pas destiné à une autre activité agricole à court terme. Dans le Sud, elle est considérée comme une mauvaise herbe, particulièrement dans les champs de maïs. Au Québec, il existe une variété sauvage de petite taille (P. heterophylla) qui convient tout particulièrement comme couvre-sol et dont le fruit mûr est comestible.

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Coqueret du Pérou Physalis peruviana bio

Physalis bio antioxydant naturel puissant

Famille: Solanacées
Origine: Amérique centrale, Pérou
Période de floraison: mai
Couleur des fleurs: jaune
Exposition: soleil, mi-ombre
Type de sol: riche en compost, drainé
Acidité du sol: neutre
Humidité du sol: neutre
Utilisation: potager, fruits séchés, pot, bac
Hauteur: de 1 à 1,5 m

Coqueret du Pérou Physalis peruviana bio
Coqueret du Pérou Physalis peruviana bio

Type de plante: fruit
Type de végétation: vivace cultivée en annuelle au potager
Type de feuillage: persistant
Rusticité: moyennement rustique, prévoir une protection hivernale dans les régions nord
Plantation, rempotage: printemps
Méthode de multiplication: semis en mars-avril, division de la touffe en tranchant à la bêche, bouturage
Taille: Plante à tendance envahissante
Espèces, variétés intéressantes: Le genre comprend une centaine d’espèces
– Physalis peruviana, l’espèce type
Maladies et ravageurs: les aleurodes et les pucerons surtout en serre, la rouille
Toxicité: Le fruit est comestible à maturité
Le coqueret du Pérou produit un fruit comme l’amour en cage, mais un peu plus gros et de couleur jaune riche en vitamine A et C. Lorsque le calice est sec, soit au début de l’automne, les fruits peuvent être récoltés et consommé nature, en confiture ou en accompagnement pour des plats ou pour la confiserie.

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COQUERET DU PEROU – ALKEKENGE- GROSEILLE DU CAP culture

Phy salis superfruit bio antioxydant naturel puissant

Nom scientifique : Physalis peruviana (Linné).

Famille : solanacées.

Origine : Amérique centrale (Pérou).

Introduction : observé « aux Amériques » dès le XVIIIème siecle, le coqueret du Perou est introduit dans les jardins botaniques dès le XIXeme siècle.

Description : buisson à port naturellement touffu et retombant. Hauteur 2m. maxi.

Feuillage : le feuillage du Physalis peruviana est ovale, persistant et légèrement duveteux.

Floraison : belles petites fleurs jaunes maculées de noir. Elles sont présentes presque tout au long de l’année, cohabitant avec les fruits.

COQUERET DU PEROU
COQUERET DU PEROU

Fruits : les fruits du coqueret du Perou ressemblent à ceux des amours-en-cage de nos jardins, mais plus gros et de couleur jaune-orangé. A l’intérieur du calice, fruit jaune sucré et parfumé contenant plein de petites graines. Diamètre approximatif des fruits : 2 cm.

Récolte : dès que le calice a pris sa couleur paille, c’est a dire, sous nos climats : septembre – octobre. A condition de maintenir la plante en serre chaude ( 18 °), on peut avoir des fruits tout au long de l’année.

Autres variétés : cette famille comporte énormément de genres dont certains sont délicieux, d’autres carrément toxiques. Certains classent les variétés horticoles (rouges, violettes etc… (amour-en-cage des jardins) comme toxiques. Donc, prudence ! Le plus connu des autres Physalis comestibles est Physalis pruinosa, de plus petite taille, strictement annuel, aux fruits d’un diamètre de 1 cm.

Utilisations : c’est surtout le plaisir de les déguster frais qui prime, les enfants n’y résistent pas ! Si la récolte est trop abondante, essayez les gelées et confitures, mais surtout le séchage, qui donne un excellent résultat. L’Amérique centrale en exporte d’ailleurs régulièrement ( au prix de l’or, au moment de Noël ). Le fruit frais ou séché de Physalis peruviana peut être mis à confire dans une saumure aigre-douce qui accompagnera merveilleusement vos viandes froides.

Résistance au froid-Rusticité : deux degrés strict minimum; à o°, c’est cuit ! Pour conserver une belle plante productive tout au long de l’hiver, compter sur une température minimale de 15° et il faut aussi que la pièce ou la serre soit bien ventilée.

Nature du terrain : indifférent. On doit cultiver le coqueret du Perou en pot, prévoir des pots de très grande taille (15/20 litres) pour l’hiver. On peut aussi le cultiver en pot l’hiver et le planter en pleine terre dès que les gelées ne sont plus à craindre. Bien sûr, il ne faudra pas oublier de la rentrer avant les premières gelées d’automne !

Exposition : plein soleil.

Besoins en eau : le Physalis peruviana est très exigeant en eau en période de végétation active (avril à octobre).

Taille : la plante est très vigoureuse, des pousses apparaissent partout. Supprimer ce qui pousse à l’intérieur de la couronne et épointer les tiges régulièrement. Un tuteurage comme pour les tomates est indispensable ; mieux, conduire sur une tige et laisser se former une couronne que l’on étayera avec autant de tuteurs que nécessaire, quitte à construire un véritable échafaudage ! Les cultures industrielles au Mexique et au Brésil utilisent la même technique que pour la vigne.

Multiplication : le coqueret du Perou ne demande qu’à se multiplier, vous avez le choix des armes : semis, bouturage, marcottage.

Fertilisation : engrais rosiers, géranium ou arbres fruitiers très régulièrement durant la période de pleine végétation (mai à septembre) en intersaison et hiver, réduire les apports d’engrais.

Ennemis : en serre, surtout l’hiver, le Physalis peruviana doit faire face aux attaques d’aleurodes et de pucerons, mais surtout les aleurodes. Il y a plusieurs façons d’y faire face ; d’abord, bien aérer la plante, en évitant le recouvrement des feuilles. Les insectes se cachent moins facilement et sont plus aisément atteints par les traitements. Utiliser ensuite des feuilles de papier jaune enduites de glu pour capturer les aleurodes (elles sont attirées par cette couleur). Traiter régulièrement avec un insecticide bio (pour consommer les fruits sans arrière-pensée). Et enfin, surtout l’hiver, limitez l’humidité atmosphérique qui favorise la prolifération de ces mouches blanches.

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Physalis peruviana bio riche en vitamines

Physalis peruviana bio antioxydant naturel puissant riche en vitamines

Zoom sur la baie des Incas

Aussi appelée le Coqueret du Pérou (Physalis peruviana) ce petit fruit souvent connu à l’état frais car il orne souvent nos gâteaux reste cependant peu connu pour ses bienfaits.

Physalis peruviana bio riche en vitamines
Physalis peruviana bio riche en vitamines

Mais quels bienfaits possède ce petit fruit orange ?

La baie des incas est riche en acide gras essentiels, on peut d’ailleurs en faire une huile.

Il est également riche en caroténoïdes (excellente source de provitamine A, 3000 UI de carotène pour 100 g), en vitamine C, en vitamine E et en phytostérols)

Grâce à cela le Physalis peruviana permet ainsi de renforcer la vision dont notamment le nerf optique et soulager les maux de gorge et la toux. Les études suggèrent qu’un régime alimentaire riche en lutéine et en zéaxanthine pourrait ralentir l’évolution de dommages touchant les yeux comme la dégénérescence maculaire et les cataractes. Grâce à ses propriétés diurétiques il purifie le sang.

Mais pourquoi ce prix élevé ?

Sa culture :

En effet la récolte et la culture du Physalis péruviana est très délicate d’où son prix élevé.

La plante, originaire des zones andines de Colombie, Pérou, Bolivie dans des altitudes jusqu’à 3200m, a été largement introduite en culture dans d’autres régions tropicales, subtropicales et même des zones tempérées. Il a récemment été cultivé au Chili, produisant des fruits d’une étonnante saveur et arôme (en comparaison avec les fruits d’origine tropicale), une conséquence directe de la grande différence de température entre le jour et la nuit dans le sud du Chili. Toutefois, au Chili, la production n’est possible que de décembre à mai.

Cette baie peut bien-sûr se manger fraîche et est délicieuse dans les desserts.

Voici une petite recette trouvé sur internet.

La recette de clafoutis de Louisette Bertholle est simplement la meilleure, pas la peine de la réinventer (elle la doit à Michel Pereire).
– Mettre à préchauffer le four à 175°
– L’appareil à clafoutis se fait dans un saladier de 3 CàS de farine, 3CàS de sucre, 1 pincée de sel.
Bien y mélanger au fouet 3 œufs entiers, puis doucement en fouettant 33 dl de lait.
Terminer avec 1 CàS d’huile neutre, 2 CàS d’excellent rhum.
Laisser reposer pendant qu’on prépare les fruits.
Les proportions ci-dessus sont données pour 1 kg net de fruits (épluchés, dénoyautés) et un moule à tarte (étanche) de diamètre 20 cm.
On verse la pâte en premier, ensuite les fruits qu’on répartit uniformément.
Cuisson 40 à 45 minutes.
Démouler à froid.
Servir saupoudré de sucre glace.
Ce clafoutis n’est pas le traditionnel aux cerises qui se faisait de cerises noires sauvages, mais une transposition à la baie acidulée du physalis (edulis).
Le résultat est excellent.

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Les physalis peruviana pour la santé

Le physalis bio antioxydant naturel puissant ou baie d’aguaymanto est recommandé pour ses propriétés diurétiques pouvant améliorer l’élimination des toxines et le renforcement de la vision. Part sa composition, riche en bêta-carotène, phytostérols et physalines, il aurait des effets antibactériens, anti-inflammatoires et même anti-cancer.

Le physalis aussi appelé baie d’aguaymanto, coqueret du Pérou, et surnommé « baie des Incas », est le fruit comestible d’une espèce de physalis (Physalis peruviana), une herbacée qui se développe dans les régions chaudes et sèches des Andes (Colombie, Pérou, Bolivie) où il pousse entre 800 et 3000 m d’altitude. Il a cependant été largement introduit en culture dans d’autres régions, notamment en Afrique du Sud, en Afrique centrale, en Australie et en Nouvelle-Zélande. Les fruits du physalis sont des petites baies rondes, remplies de graines et protégées par des sépales soudés formant un lampion virant au brun et à un aspect de papier une fois à maturité. De couleur jaune orangé, son goût est agréablement acidulé.

Les physalis peruviana pour la santé
Les physalis peruviana pour la santé

Le physalis, dont on peut faire une huile, est riche en gras essentiels, en caroténoïdes (excellente source de provitamine A, 3000 UI de carotène pour 100 g), en vitamine C, un taux exceptionnel de phosphore (55%), peu de protéines (0,3%) , en vitamine E et en phytostérols.
Il possède également certains des complexes de vitamine B : B1, B2, B6 et B12 et aussi des bioflavonoïdes, qui possèdent des propriétés anti-inflammatoires, antioxydants et antiviraux.

Le physalis a des vertus anti-oxydantes, dépuratives. Il était largement employé en France pour soigner les troubles hépatiques et rénaux.
Il est recommandé pour les personnes atteintes de diabète de tous types, favorise le traitement des personnes atteintes de dérèglement de la prostate et purifie le sang grâce à ses propriétés diurétiques pouvant améliorer l’élimination des toxines. Il est aussi considéré comme un tranquillisant naturel de par sa teneur en flavonoïdes.
Enfin, le physalis est recommandé pour les régimes alimentaires et le renforcement de la vision (reconstituant et fortifiant du nerf optique).

Ingrédients :

100 % baies d’aguaymanto* (Physalis peruviana).
*Produit issu de l’agriculture biologique.
Origine : Pérou

Valeurs nutritionnelles : pour 100 g

Valeur énérgétique : 280 kcal / 1172 kJ
Cholestérol : 0 g
Protéines : 2 g
Lipides : 0 g
Glucides : 9 g

Conseils d’utilisation :

Consommer à volonté comme n’importe quel fruit sec.
Ce petit fruit aux parfums, saveurs et propriétés nutritionnelles remarquables se déguste nature, en mélange avec d’autres fruits secs, dans les gâteaux, les tartes, les smoothies.
A conserver au sec et à l’abri de la lumière.
Bien refermer après ouverture.

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Physalis bio Cerise de terre botanique

Physalis bio antioxydant naturel puissant

Coqueret du Pérou, Amour en cage, Lanterne chinoise, Cerise de terre, Groseille du Cap, Poc-Poc, Tomatillo, Baie dorée
Plante de la famille des Solanaceae et du genre Physalis.
Il existe 6 espèces comestibles, mais seulement trois sont cultivées pour l’alimentation humaine. Sous nos climats, le Physalis peruviana se cultive en annuel, tandis qu’elle est vivace dans les pays d’origine. Elle présente des feuilles alternes, cordiformes et entières pouvant atteindre 40cm de longueur.

Physalis peruviana bio
Physalis peruviana bio

Quelques schémas pour ceux qui veulent aller plus loin

Cette plante atteint généralement une hauteur de 1.5m, pour un étalement égal. La plante est de port érigé et ramifiée, sourtout à la base avec des branches touffues. Un duvet de poils recouvre les tiges anguleuses. La plante présente un aspect en gobelet, préjugeant d’une forte basitonie.

Les fleurs sont composées de sépales accrescentes (qui grandiront après fécondation) jaunes maculées de pourpre, de 2mm de diamètre et se situent à l’aisselle des feuilles. Lors de la fécondation entomophyle (due aux insectes), les sépales vont rapidement grandir en formant un calice renflé, et se souder progressivement, pour protéger la jeune baie.
Formule florale de type 5: (5P + 5S) +5E . L’ovaire est supère.

La baie mesure de 2 à 3 cm de diamètre, pour un poids d’environ 2 à 10 grammes, contenant plus de 300 graines par fruit. Tant que la baie reste verte, celle-ci présente de faibles taux de solanines toxiques (alcaloïdes). Il est donc nécessaire de connaître le caractère comestible de la variété cultivée.

Derrière ce côté un peu effrayant, (Mais par ailleurs incontournable!!!) se cachent de nombreuses qualités. La concentration en vitamines C est plus importante que dans l’orange.

Attention tout de même à l’espèce cultivée!!!

En effet, dans beaucoup de jardins, on peut trouver le Physalis alkekengii, qui est une espèce de couleur orange foncé, n’est pas comestible! Celle-ci est cultivée pour la décoration, et peut provoquer des diarrhées importantes, pour ceux qui souhaitent encore en consommer. On préferera donc cultiver les espèces P. peruviana, P. pruinosa et P. ixocarpa, toutes comestibles et décoratives.

Quel goût?

La baie fraîchement sortie de son calice a un goût sucré et acidulé, qui peut rappeler le kiwi les agrumes , la prune ou le melon. Le fruit se marie bien à l’arôme puissant du chocolat… Il vous appartient désormais de retrouver quelques bons conseils sur le blog Marmiton !!!

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Physalis bio, comment la consommer ?

Description : Originaire des Andes d’Amerique du Sud, la physalis antioxydant naturel puissant se cultive dans des zones situées entre 1500 et 3000 mètres d’altitude.

La physalis est un fruit de la taille d’un raisin ou d’une tomate cherry, elle est ronde et de couleur jaune . Son diamètre varie entre 1.5 et 2.5 cm et son poids de 5 à 7 g. Ce fruit est formé par de nombreuses graines jaunes comestibles. Elle est enveloppée par une fine couche de feuilles qui, lorsque le fruit mûrit, sèchent et procurent une protection naturelle au fruit qui se trouve à l’intérieur.

Son goût est aigre-doux, agréable et intense.

Physalis bio, comment la consommer ?
Physalis bio, comment la consommer ?

Comment la consommer ?

La physalis peut se consommer en dessert, dans des gâteaux et des salades. Elle peut être utilisée également pour la confection de confitures, yaourts, glaces, conserves, liqueurs et sauces à viande. Elle peut être consommée de la même façon que le raisin.

Magasinage : Les physalis mûres peuvent être conservées dans le réfrégirateur jusqu’à 2 semaines . Après ce laps de temps elles deviennent légèrement molles.

Caractéristiques nutritionnelles: Grâce à sa forte teneur en vitamine A, calcium et phosphore , la physalis est recommandée pour les régimes alimentaires, pour le contrôle de la diabète et pour la purification du sang. Ses propriétés diuretiques aident le traitement des problèmes de la prostate. De la même façon la physalis permet d’améliorer la vision grâce au renforcement du nerf optique.

Saison: Toute l’année.

Valeur nutritive:

Portion :125g – 250g.
Calories: 83 -166
Gras: 9-18

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Tarte au praliné et physalis bio

De retour vers la gourmandise voici une recette de tarte garnie avec des physalis antioxydant naturel puissant et une crème pralinée avec du mascarpone, du chocolat et des noisettes. C’est donc ainsi qu’aujourd’hui, je vais contenter, espérons le, les gourmands. A vous de juger.

Préparation : 20 minutes
Cuisson : 15 minutes
Température de cuisson : 200°
Ingrédients (pour 4 personnes soit une tarte de 20 cm de diamètre) :
1 pâte sablée maison ou prête à l’emploi
250 gr de mascarpone
15 cl de crème semi-épaisse
150 gr de physalis (soit environ 25 à 30 fruits)
20 gr de chocolat noir en poudre sans sucre (type Vanhouten)
50 gr de sucre glace
70 gr de noisettes
Quelques physalis dans leurs calices pour la décoration

Préparation :

Préchauffez le four sur 200°.
Abaissez et foncez la pâte dans un cercle ou un moule à tarte. Lestez le fond et faites cuire à blanc pendant 15 minutes à 200°.
Sortez du four et laissez refroidir.
Mettez dans un récipient, le mascarpone, la crème, le chocolat en poudre et le sucre glace. Fouettez à l’aide d’un batteur électrique jusqu’à l’obtention d’une crème mousseuse. Réduisez les noisettes mais pas trop finement en donnant quelques coups de mixeur. Ajoutez les noisettes à la crème au chocolat et remplissez une poche à douille de la préparation.
Garnissez le fond de tarte avec cette préparation, disposez régulièrement des physalis en les enfonçant dans la crème. Décorez avec quelques physalis et leurs calices.
Réservez au frais au minimum 1 heure avant de servir.

Mon conseil : En fonction de l’amertume de votre chocolat, adaptez la quantité de sucre nécessaire. Ne mixez pas trop finement vos noisettes mais veillez cependant à ce que les morceaux ne soient pas trop gros pour la poche à douille. Vous pouvez également décorer votre tarte avec des noisettes enrobées de caramel. Précision, cette recette n’est pas réalisée avec un véritable praliné nécessitant un savoir faire plus technique.

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Canard aux physalis bio

Canard aux physalis bio antioxydant naturel puissant

Ingrédients
pour Canard aux physalis

canard (de 2 Kg environ) : 1
alcool de riz : 20 cl
miel : 3 c. à soupe
sauce soja : 20 cl
physalis : 2 barquettes bio
sucre : 200 g
eau : 20 cl
sel, poivre

Accord vin
pour Canard aux physalis

un gewurztraminer (Blanc, Alsace)

Préparation
pour Canard aux physalis

La veille, posez le canard dans un plat creux, puis arrosez-le d’alcool de riz et laissez-le macérer pendant 4 h en l’arrosant régulièrement de manière à ce que la peau soit bien imbibée d’alcool.

Délayez le miel dans 20 cl d’eau et frottez le canard de ce mélange.

Puis sortez-le du plat et mettez-le dans un autre plat, au sec, de manière à ce que toute la peau du canard sèche et ce pendant 4 nouvelles heures.

Le jour même, préchauffez le four th.6 (190°C).

Remplissez un plat creux avec de l’eau et posez dessus une grille.

Posez le canard sur la grille, au dessus du plat.

Enfournez et laissez cuire 30 min puis baissez le four th.5 (150°C) et poursuivez la cuisson 1 h.

Pendant ce temps, retirez les physalis de leurs coques végétales et lavez-les sous l’eau froide.

Séchez-les et piquez-les en plusieurs endroits avec une aiguille à couture fine.

Versez l’eau et le sucre dans une casserole.

Mélangez pour dissoudre complètement le sucre. Portez à ébullition.

Quand le sirop bout, plongez les physalis dedans et baissez le feu en maintenant un léger frémissement.

Laissez cuire 1 h.

Retirez alors la casserole du feu et laissez les physalis dans le sirop jusqu’à complet refroidissement.

Remontez le four th.6 (190°C) et poursuivez la cuisson jusqu’à ce que la peau du canard soit bien dorée et croustillante.

Sortez-le du four, mettez-le dans un plat et entourez-le de physalis confits.

Servez aussitôt.

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